Quand les conseillers municipaux (et leurs enfants) jouent les Père Noël : chez Maria et Jean Ceccarel

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Cette année encore, les fêtes de fin d'année ont pris un relief particulier à Noueilles, avec l'illumination du village et l'organisation d'une journée de réjouissances ouvertes à tous les villageois.

A l'invitation du CCAS et de la municipalité, ce sont d'abord les enfants qui se sont retrouvés autour d'un formidable goûter précédé d'une "fiesta" dont le point d'orgue fut, bien sûr, l'arrivée du Père Noël ! Après quoi la fête s'est prolongée jusque tard dans la nuit autour d'un buffet froid offert à tous les habitants.

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Pour sa première participation au Téléthon (voir programme), Noueilles n'a pas failli à sa triple réputation de commune accueillante, généreuse et animée. Lancées dès le matin au son des cloches de l'église "tournées" à la main comme autrefois, les animations se sont poursuivies tout au long de l'après-midi et de la soirée, avec deux points d'orgue : l'arrivée de la caravane de la Rando de l'Espoir, emmenée par la championne de France, Cathy Moncassin, et accueillie par les chants et les danses des enfants de l'école, et le dîner-spectacle de la soirée orientale, annoncé par un concert de djembés autour d'un feu de joie. Une soirée qui a fait salle comble, avec cent soixante-dix convives tout aussi comblés par le succulent couscous d'Ahmed et Pascal que par le truculent spectacle offert par la "Bande Avelpo".

Grâce à cette soirée et à l'ensemble des animations proposées tout au long de la journée (guirlande de l'espoir, concours de fléchettes, balade en tracteur, parcours d'athlétisme, sculpture de ballons, pesée du jambon, etc…), c'est une enveloppe de quelque 1600 euros qui a pu être remise au président Christian Aussaguel pour le compte du Téléthon.

Quad rugby en démonstration à la salle polyvalente, dans une ambiance de stade en folie


Même les parents veulent apprendre à sculpter les ballons !
 

 
L'arrivée des coureurs de la Rando, parmi lesquels Cathy Moncassin et son maillot de championne de France

Photo de famille pour les participants à la Rando et les enfants de Noueilles

 
Des danses occitanes pour accueillir les coureurs

Le maire, Henri Chalandon, reçoit un tableau pour remercier le village de son accueil

Nadia en vedette sur les planches de la "Bande Avelpo"

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Les djembés noueillois donneront le "la"

C'est dans le cadre de la "Rando de l'Espoir", un tour cycliste de cinq jours à travers Midi-Pyrénées, que Noueilles participera cette année pour la première fois au Téléthon. Le passage de la caravane de la rando est annoncé pour 15 heures, et c'est autour de ce temps fort qu'est construit le programme des activités et animations de la journée du 4 décembre. Tout commencera le matin dès dix heures, au son des cloches de l'église que les bénévoles "tourneront", comme au temps d'avant

l'électricité. Au Centre de Loisirs, tout en décorant le char du Téléthon et en fabriquant le "Totem de l'espoir", on fabriquera et accrochera les premiers maillons de la "chaîne de solidarité", une guirlande géante qui sera accrochée au fur et à mesure des dons, de manière à faire le tour du village (fil rouge). Pendant ce temps, à la salle polyvalente, les membres de l'association THOM (Toulouse Handi Ovalie Muret) proposeront une démonstration de quadrugby, sport collectif pour tétraplégiques. Bien sûr, la matinée s'achèvera, aux environs de midi, par un apéritif offert par la municipalité.

Des billets de tombola pour monnaie d'échange
Les activités du Centre de Loisirs reprendront dès 14 heures, après un tour du village en musique, derrière le Char de Téléthon. S'y ajouteront des mini-olympiades pour les plus jeunes, un concours de fléchettes pour tous, un stand de sculpture de ballons, un spectacle de magie, et les animations-lecture de la médiathèque.

Aux environs de 15 heures, l'arrivée de la caravane, suivie de près par les coureurs, sera saluée par une nouvelle volée de cloches et un lâcher de ballons. Les enfants de l'école proposeront chants et danses africaines avant un bon goûter offert à tous. Ce sera l'heure de la remise officielle d'une première enveloppe à la caravane, fruit de la vente des billets de tombola qui permettent de participer aux activités tout en courant la chance de gagner un gros lot. Après quoi les animations devraient se poursuivre jusqu'aux environs de 18 heures, heure de l'embrasement du totem au rythme des djembés du Club local. Il ne restera plus, ensuite, aux cent soixante-dix heureux inscrits, qu'à se donner rendez-vous pour la soirée orientale, à base de coucous, de music-hall et de bonne humeur , avec la "Bande Avelpo".

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Incroyable mais vrai ! Même au cœur des terres d'Ovalie, personne n'avait encore pensé à créer une section rugby handisports qui pourrait permettre à des personnes en situation de handicap de pratiquer du rugby en fauteuil roulant. Surpris par ce constat, une bande de copains se sont lancés dans l'aventure.

L'équipe du THOM au grand complet

Non sans références, d'ailleurs, puisque si rien de tel n'existait encore en France, à leur grand désappointement, ils savaient que ce sport existait depuis plus de vingt ans dans certains pays d'Europe, ainsi que dans l'hémisphère Sud et sur le continent nord-américain. Pour preuve : le Quad rugby (sport collectif pour tétraplégiques) était une discipline en démonstration aux Jeux paralympiques d'Atalanta en 1996, et elle est devenue discipline Olympique depuis les Jeux de Sidney !

Les Jeux, justement ! Les prochains sont en 2008, et les voilà dans la ligne de mire de la jeune association haut-garonnaise, créée voilà tout juste un an pour, d'abord, permettre à ses membres de pratiquer ce nouveau sport, et ensuite le faire connaître et le promouvoir. Objectifs affichés : création d'un championnat national et d'une Coupe d'Europe, ainsi que d'une future équipe de France qui ouvrirait la porte des Championnats du Monde de Quadrugby… et des prochain Jeux paralympiques. Objectifs ambitieux, certes, mais s'inscrivant dans une progression logique et volontaire tout à fait dans les cordes de ces pionniers du Quadrugby en France.

Unique en France
Car le THOM (Toulouse Handi Ovalie Muret) est bien le premier (et pour l'instant encore, le seul !) Club de Rugby handisports en France. Il réunit donc, autour du président Christophe Toustou, une douzaine de sportifs qui recherchent à la fois une intégration sociale dans la pratique d'un sport collectif et une reconnaissance sportive dans leur aspiration à une compétition de haut niveau.

Pour ce qui est de la compétition, justement, ils sont pour l'instant freinés par un manque flagrant d'adversaires. Voilà pourquoi ils ont pris leur fauteuil de pèlerins pour aller présenter leur sport et leur passion dans divers centres de rééducation fonctionnelle jusqu'à Montpellier, Lorient, Bordeaux ou Paris, avec pour objectif la création d'un tournoi inter-centres. En attendant, ils ont pu, voilà quelques semaines à peine, participer à leur premier tournoi international en Belgique. En attendant aussi, ils seront en démonstration à Noueilles, le samedi 4 décembre à partir de 10 heures, dans le cadre des animations du Téléthon.

Contact : quadrugby.muret@wanadoo.fr - Tél. 06.03.41.08.94 - Site internet : www.thom.fr.vu

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Les organisateurs, fin prêts pour une fameuse journée d'animations

Pour la première fois cette année, Noueilles participera au Téléthon dans le cadre de la "Rando de l'Espoir", un tour cycliste de cinq jours à travers Midi-Pyrénées, dont l'une des étapes est prévue à Noueilles, le samedi 4 décembre après-midi. C'est autour de ce temps fort que sera le passage de la caravane qu'est construit le programme des activités et animations de la journée du 4 décembre.

Tout commencera le matin dès dix heures, au son des cloches de l'église que les bénévoles "tourneront", comme au temps d'avant

l'électricité. Au Centre de Loisirs, tout en décorant le char du Téléthon et en fabriquant le "Totem de l'espoir", on fabriquera et accrochera les premiers maillons de la "chaîne de solidarité", une guirlande géante qui sera accrochée au fur et à mesure des dons, de manière à faire le tour du village (fil rouge). Pendant ce temps, à la salle polyvalente, les membres de l'association THOM (Toulouse Handi Ovalie Muret) proposeront une démonstration de quadrugby, sport collectif pour tétraplégiques. Bien sûr, la matinée s'achèvera, aux environs de midi, par un apéritif offert par la municipalité.

La caravane passe à 16 heures
Les activités du Centre de Loisirs reprendront dès 14 heures, après un tour du village derrière le Char de Téléthon, au rythme des djembés du club local. S'y ajouteront des mini-olympiades pour les plus jeunes, un concours de fléchettes pour tous, un stand de sculpture de ballons, un spectacle de magie, et les animations-lecture de la médiathèque.

Aux environs de 16 heures, l'arrivée de la caravane, suivie de près par les coureurs, sera saluée par une nouvelle volée de cloches. Les enfants de l'école proposeront chants et danses africaines avant un bon goûter offert à tous. Ce sera l'heure de la remise officielle d'une première enveloppe à la caravane. Après quoi les animations devraient se poursuivre jusqu'aux environs de 18 heures, heure de l'embrasement du totem, toujours au rythme des djembés. Il ne restera plus, ensuite, qu'à se donner rendez-vous pour la soirée orientale, à base de coucous, de music-hall et de bonne humeur.

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Le beau temps n'était pas vraiment au rendez-vous de cette quatre-vingt-sixième commémoration à Noueilles. Malgré le froid et la pluie, les villageois ont cependant participé relativement nombreux, autour du maire Henri Chalandon, des membres du conseil et du porteur de drapeau, Aimé Proudhom, à la cérémonie du souvenir, ponctuée par la trompette d'une jeune musicien local. Après quoi les participants ont été invités à aller se réchauffer et se sécher autour d'un vin d'honneur offert par la municipalité.

Une minute de silence à la mémoire des treize enfants de Nouellles morts pour la France

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Chauds, les marrons ! Serge à la manivelle….

Sympa, la soirée "castagnada" proposée vendredi soir aux villageois par l'équipe du Foyer rural ! L'occasion de se retrouver, en famille ou entre amis, autour d'un feu de bois sur lequel crépitent les châtaignes que l'on dégustera grillées à point, accompagnées de vin nouveau ou de jus de fruits. Puis de continuer la soirée chacun à sa guise, autour des tables où l'on fait la causette ou bien des tapis verts où règnent les jeux de société, petits et grands ne manquant pas, à tour de rôle, d'aller tester leur adresse au concours de fléchettes, encouragés, conseillés et ovationnés par de nombreux spectateurs…

Autour des tables...

...et du concours de fléchettes...

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Comme prévu, trouille et citrouille étaient bien au menu du dernier vendredi d'octobre, dans les rues et les venelles de Noueilles. Une nuit d'Halloween organisée par le Centre de Loisirs, mais grand ouverte, dès le début de soirée, à tous les amateurs de frissons, de bonbons et de potirons. Et même à leurs parents avec, pour se mettre en train, un apéritif offert par le centre de Loisirs et la municipalité, suivi d'un sympathique repas style "auberge espagnole" où tout le monde dégustait ce que chacun avait apporté.

Pour la suite de la soirée, les organisateurs n'avaient rien laissé au hasard, à commencer par une information préalable et efficace auprès des villageois. Aussi personne n'avait manqué de décorer et d'illuminer son pas de porte, certains allant même jusqu'à transformer leur douce demeure en authentique maison hantée ! Et personne, bien sûr, n'avait oublié d'ajouter sachets de bonbons et autres gourmandises dans la liste de ses courses hebdomadaires. C'est dire si la récolte de friandises, à la nuit tombée, par une troupe gentiment bruyante et joyeusement colorée d'une bonne quarantaine de squelettes bien en chair, de sorcières pas trop édentées et de fantômes grassouillets a été fructueuse, et le partage intéressant !

Sorcières, diablotins, squelettes, vampires et fantômes prêts pour l'invasion du village


Des montagnes de bonbons !

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La saison de karting vient de s'achever avec, pour Yoann Darrodes, le jeune pilote noueillois sociétaire du KCPOM (Karting Club du Pays d'Olmes-Mirepoix), un bilan des plus satisfaisants. A peine plus de trois ans après sa première compétition (c'était en juin 2001, à Lavelanet), et sur un total de onze courses disputées cette saison, il s'est offert pas moins de sept podiums, dont trois premières places, à Belmont-sur-Rance (Aveyron) et Lavelanet (Ariège). Des résultats qui ne laissent guère de chances à ses adversaires dans les divers championnats ! C'est ainsi que Yoann aligne cette année le titre de champion Midi-Pyrénées et vainqueur du trophée KCPOM (Lavelanet),

une deuxième place au Trophée de l'Ariège et une troisième place au Trophée du Pays de l'Agenais. Sans compter une superbe cinquième place, sur 70 participants, aux Championnats de France qui se déroulaient cette année à Marcillat, dans l'Allier !

Technique
Il est vrai que la nouvelle catégorie (Formule FFSA Junior) dans laquelle il a choisi de courir lui convient parfaitement. "Cette formule, explique-t-il, est fondée sur un nouveau concept qui allie réduction des budgets et participation des pilotes sur un même pied d'égalité, le but étant que ce soit le pilote qui fasse la différence, et non la mécanique. Il s'agit donc d'utiliser un nouveau type de kart créé par la Fédération, formule monotype, c'est à dire que chaque engin est équipé du même ensemble châssis – moteur." Et de préciser, à l'intention des spécialistes : "Le moteur est de conception IAME, d'une cylindrée de 100 cc, développant environ 17 chevaux, et il est équipé d'un embrayage et d'un démarreur électriques. Toute préparation y est évidemment interdite."

Favori incontestable de cette nouvelle catégorie, il envisage l'avenir avec confiance pour l'année de ses vingt ans et son passage dans la tranche des Seniors. En ligne de mire, le titre de Champion de France, bien sûr, qu'il faudra aller disputer à Lohéac, en Bretagne. Mais aussi celui de Champion Midi-Pyrénées qu'il faut défendre, et la participation à quelques grandes courses, telles celles du Trophée du Grand Sud ou du trophée Kart Mag. Rendez-vous donc en mars 2005 pour les premiers tours de roues de la prochaine saison.

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Pour ces premières vacances de la nouvelle année scolaire, le Centre de loisirs de Noueilles n'a pas peur de démarrer sur l'incontournable thème de saison : Halloween ! Au programme, donc, de ces huit jours de vacances et de fête, des animations et des activités à base de citrouilles et de bonbons, de sorcières et de vampires, de grands jeux ténébreux et de spectacles mystérieux...

Parés pour la balade de nuit dans les rues du village

Avec, en prime, une journée à la Patinoire, un après-midi à Aqualudia et un autre au cinéma à Labège. Sans oublier la soirée et la nuit d'Halloween, avec un dîner à l'auberge espagnole, la quête des bonbons dans les rues du village, le partage et la fête pour tous au retour ! Le programme complet est disponible en mairie et à la médiathèque du village, ainsi que sur le site internet de la commune (www.noueilles.fr) à la page "Espace loisirs Enfants".

Rappelons que le Centre de loisirs fonctionne sur une plage d'ouverture quotidienne de 7 h 30 à 18 h 30 et que le tarif journalier, hors suppléments-sorties, est de 11.50 € pour les enfants de Noueilles et Pouze et de 15.50 € pour les autres communes. Les bons CAF et participations des Comités d'Entreprise étant bien entendu acceptés. Renseignements et inscriptions, le plus rapidement possible, au 06.12.08.83.64, ou bien à l'adresse-mél suivante : espace-loisirs-noueilles@tiscali.fr.

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A l'occasion des Journées du Patrimoine, l'église Saint-Pierre de Noueilles a tenu portes ouvertes dimanche après-midi et accueilli de nombreux visiteurs, curieux de découvrir l'histoire et les richesses de cette petite église de campagne et ravis de profiter de l'animation musicale offerte en supplément. Cinq jeunes musiciens s'étaient en effet proposés pour animer les lieux : Audrey à la guitare, Yoann et Marie-Laure à la flûte, Benoît au djembé, et Maël à l'orgue ont interprété Bach, Gounaud, Satie… , pour le plus grand plaisir des visiteurs et des passants. Une contribution originale et très appréciée à ces "Journées du Patrimoine" qui ont donné à voir, au-delà des vitraux, statues, boiseries et peintures, un monument vivant et chaleureux.

Les jeunes musiciens ont animé la visite

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Après trois semaines de vacances bien gagnées, le Centre de Loisirs a rouvert ses portes ce lundi 23 août, pour une semaine et deux jours d'activités diverses et variées : balades en campagne, sorties vélo, sorties piscine, cinéma, etc... Les inscriptions sont à prendre le plus rapidement possible au 06.12.08.83.64, ou bien à l'adresse-courriel suivante : espace-loisirs-noueilles@tiscali.fr.

Rappelons que l'Espace-Enfants fonctionne sur une plage d'ouverture quotidienne de 7 h 30 à 18 h 30 et que le tarif journalier, hors suppléments-sorties, est de 11 € pour les enfants du RPI Noueilles-Issus-Pouze et de 15 € pour ceux des autres communes (9 euros et 13 euros pour la demi-journée avec repas et 6,5 euros et 10,5 euros pour la demie-journée sans repas). Le programme complet des derniers jours de vacances est disponible en mairie, ou bien sur le site www.noueilles.fr à la page "Espace Loisirs Enfants".

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Les animateurs connaissent toutes les ficelles pour captiver les jeunes colons

Drôle de coïncidence, quand on habite à quatre kilomètres de distance et qu'on se connaît pour avoir fréquenté des cours en commun, de se retrouver, sans concertation aucune, inscrites au même chantier international ! C'est ce qui est arrivé à Anabel Campos Casanova (22 ans) et Laia Roig Ramon (21 ans), qui sont donc arrivées ensemble de la région de Valencia, en Espagne, pour participer au chantier de nettoyage des berges de la Hyse, à Noueilles.

Anabel habite à Faura, une petite ville de 3000 habitants, à une trentaine de kilomètres de Valencia. Elle souhaite devenir prof d'histoire et elle étudie l'histoire dans ce but, depuis quatre ans, à l'Université de Valencia. De langue maternelle catalane, elle parle bien sûr l'espagnol, mais aussi l'anglais et le français. Et c'est, entre autres, pour pratiquer la langue qu'elle a choisi d'effectuer son premier chantier en France, et plus particulièrement dans la région toulousaine qu'elle ne connaissait pas, ses deux précédents voyages en France l'ayant menée tout droit à Paris. Pour ce qui est du chantier, elle trouve que le travail n'est pas trop difficile, et elle apprécie réellement le fonctionnement du groupe, dans la richesse et le respect de ses différences. Et même si la "vitalité de l'Espagne" lui manque un peu parfois, elle aime la vie tranquille de ce tout petit village où "les gens sont très gentils".

Un village assez semblable, finalement, à celui de Laia : Benavites, 600 habitants, à 34 km de la capitale valenciana. Et c'est donc à l'Université polytechnique de Valencia que Laia suit depuis quatre ans une formation d'ingénieur, en même temps que des études d'anglais et d'allemand à la "Escuela Oficial de Languas". Elle aimerait bien, aussi, apprendre le français, mais elle doit mettre l'accent sur l'allemand dès maintenant puisqu'elle prévoit de réaliser son "projet final d'études" en Allemagne, dans deux ans, dans le cadre du programme européen Erasmus. En attendant, elle apprend le français sur le tas et, faisant sienne la célèbre devise "carpe diem", elle profite à plein de ses trois semaines de chantier dans la campagne lauragaise, dont elle voit arriver la fin avec une nostalgie croissante. "No quiero que se acaba", conclut-elle.

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Blanka Janourova (20 ans) et Ba'ra Rihova (21 ans) se connaissent depuis le lycée et ont décidé ensemble de participer à un chantier-environnement, quelque part en France. Voilà comment, depuis Prague, la capitale de la République Tchèque où elles vivent toutes deux, elles se sont retrouvées à Noueilles, occupées à débroussailler les berges  de la Hyse.

Blanka est étudiante en agriculture et elle se spécialise dans la connaissance des espèces tropicales et subtropicales depuis un an. Elle espère ainsi, plus tard, pourvoir travailler dans

le domaine de la protection des espèces en voie de disparition. En attendant, pour pourvoir au financement de ses études, elle travaille à mi-temps comme secrétaire dans une société d'informatique. Ni le fonctionnement des chantiers, ni le Sud de la France ne lui sont inconnus, puisqu'elle a déjà participé, dans le passé, à deux autres camps de travail en France, l'un à Nîmes, l'autre à Bordeaux. Enchantée de ces expériences, c'est elle qui a convaincu Ba'ra de l'accompagner dans la région toulousaine.  

Ba'ra est également étudiante l'université de Prague, mais elle a porté son choix sur les "humanités" et a choisi comme matières l'anglais et le français, la littérature et l'histoire. Elle rêve de devenir journaliste et, en attendant, elle travaille déjà depuis un an comme correspondante locale dans un grand quotidien national, le "Mlada' Fronta Dnes". Pour elle, le chantier est le moyen le plus intéressant de découvrir la France (qu'elle ne connaissait jusqu'à présent qu'à travers un court séjour à Dijon), de pratiquer le français, et de partager et d'échanger avec des jeunes d'autres nationalités. Et le travail au bord de l'eau n'est pas si dur, après tout !!!

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Passionné de foot, Tony rêve d'en faire son métier, du côté de l'animation ou de l'entraînement. Aussi a-t-il pour projet d'intégrer une école de sport, de tenter un brevet d'Etat… Degré 1, BE1, BE2… En attendant, il travaille (depuis un an) dans une boulangerie et il truste les chantiers internationaux, dont il est l'un des participants les plus assidus, en France comme à l'étranger : Hollande, Espagne, Turquie… Du haut de son indéniable expérience, Tony, qui court les chantiers pour "rencontrer des gens et améliorer son anglais", porte un jugement de connaisseur sur le chantier en cours : "Il est très bien : j'ai connu beaucoup plus dur, comme travail ! En plus, on s'entend très bien avec les jeunes du village. Et on a pu faire des sorties : fêtes locales, week-end à la mer… L'année prochaine, je reviens !!"

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C'est la perspective de passer un an en Bretagne qui l'a incitée à choisir plutôt le sud de la France pour son premier Chantier. Pour le reste, ses motivations sont tout à fait classiques : rencontrer des jeunes de tous pays, améliorer son français, visiter la France, et plus particulièrement le sud. Elle a d'ailleurs déjà commencé, puisqu'elle a passé deux jours de vacances sur les plages de Narbonne et Gruissan avant de se mettre au travail, à Issus et Noueilles, sur les berges de la Hyse.

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Maria n'a que 23 ans, et le français n'est pas sa langue maternelle, puisqu'elle est originaire de Brno, une grande ville au sud-est de la République Tchèque. Mais elle connaît bien la France, où elle est souvent venue en vacances avec sa famille, où elle a récemment réalisé, dans le cadre de ses études, un stage de deux mois à l'I.N.C. de Reims, et où elle a déjà participé à un chantier de jeunes. Quant à la langue anglaise, indispensable sur ce chantier où elle est la langue de communication, Maria la maîtrise aussi parfaitement, puisqu'elle l'enseigne même en cours particuliers dans son pays, pour financer en partie ses études.

Ses études, justement, c'est à la faculté de pédagogie de Brno qu'elle les poursuit depuis trois ans, concentrées sur trois matières de son choix : l'éducation spécialisée, l'art, et la langue française. Avec pour but final d'enseigner l'art dans des écoles pour handicapés moteur, ou encore de se spécialiser en art et thérapie. Quant à l'étude des langues, elle va de pair avec son goût pour les voyages et la découverte d'autres pays et d'autres cultures. Elle envisage d'ailleurs d'apprendre l'espagnol et prépare, pour la rentrée, un séjour de quatre mois dans une université de Finlande, pour approfondir le thème de l'éducation spécialisée.

Avec une telle boulimie de voyage et de communication, rien d'étonnant à ce que Maria soit une inconditionnelle des chantiers internationaux (tout comme ses parents avant elle, d'ailleurs !). Ses précédentes expériences, en République Tchèque, en Espagne ou en France, lui ont laissé un excellent souvenir. Chaque nouveau chantier est pour elle un nouveau recommencement, un nouveau carrefour de langues et de cultures apte à assouvir son besoin de communication. Sans compter qu'elle aime aussi le travail en pleine nature… Mais ce qu'elle n'aime pas, ce qu'elle déteste, même, c'est la gestion comptable du camp, la collection des tickets de caisse, l'omniprésence du carnet de comptes, les additions et soustractions quotidiennes…. Presque de quoi lui gâcher ses vacances !….

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C'est Mai (prononcer Maï) Yoshiki et Masami Okumura (20 ans toutes deux) qui ont effectué le plus long voyage pour venir participer, trois semaines durant, au chantier international de réhabilitation de la rivière Hyse, à Noueilles, sous l'égide de l'association "Jeunesse et Reconstruction". Sans pour autant se connaître au préalable, puisqu'elles ont fait connaissance à leur descente du train, en gare du Vernet !

Mai vit à Tokyo et elle étudie le droit Japonais  et international depuis deux ans. C'est une habituée des voyages au long cours,

Masami et Mai, deux Japonaises ravies d'être à Noueilles

puisqu'elle connaît déjà les Etats-Unis, le Canada et l'Australie. Néanmoins, c'est la première fois qu'elle vient en Europe, et elle a choisi la France pour ce premier séjour parce que son père, qui s'y déplace souvent pour son travail, lui en a beaucoup parlé. Et elle n'est pas déçue ! Elle trouve le pays très beau, les gens très gentils et le village est devenu pour elle comme une seconde famille. D'ailleurs, à la fin du chantier, elle compte utiliser les derniers jours de son temps de séjour pour visiter Paris, et – elle hésite encore – Marseille ou les châteaux de la Loire !

Masami, elle, vient de Fukuoka, l'une des grandes villes de Kyushu, l'île la plus méridionale de l'archipel nippon. Son expérience des voyages à l'étranger se résume à une journée en Corée, aussi tout est-il pour elle source de découverte et d'émerveillement. Elle étudie l'anglais depuis deux ans à l'Université et travaille à mi-temps, depuis un an, pour une chaîne télé d'information, comme assistante de prise de vue. Un job qui lui plaît beaucoup et dont elle espère qu'il lui ouvrira les portes de son futur métier.

Mai et Masami adorent la France, mais Masami, qui a passé quatre jours à Paris à son arrivée, avant de prendre le train pour Toulouse, ajoute qu'elle préfère – et de beaucoup, Noueilles à Paris ! Tout les émerveille, depuis la couleur des champs de tournesol jusqu'à la découverte des dernières mangas de Jiro Tanigushi à la Médiathèque du village. Mais ce qui les impressionne et les enchante le plus, c'est le calme et la tranquillité de la vie villageoise : "There is no noise", s'étonnent-elles en chœur. Et il en faudrait beaucoup, beaucoup plus que des cloches d'Angélus à midi ou un pot d'échappement de mobylette à minuit pour les inciter à réviser leur jugement !!!…

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Radé vit à Loznica, au nord-ouest de la Serbie et il est étudiant en agriculture, et plus précisément en viticulture. Aussi la culture de la vigne en Lauragais, aussi marginale et familiale soit-elle, l'intéresse-t-elle tout particulièrement. Mais Radé est curieux de tout, et il n'en finit pas de s'émerveiller de tous les petits riens qui font tellement partie de notre quotidien que nous n'y prêtons même plus garde : le bon état (?) des routes, la vitesse (?) des trains… Son vœu le plus cher, d'abord exprimé en anglais puisque les deux autres langues qu'il pratique, le serbe et le russe, ne trouvent pas d'écho sur le Chantier, il a très vite appris à le traduire en français : "J'aimerais tellement vivre en France…"

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Omer Ozgun Simsek (Shizo pour les copains) et Ali Burak Kurtulan ont fait ensemble le voyage depuis Ankara jusqu'à Noueilles, pour participer, trois semaines durant, au chantier de réhabilitation de la rivière Hyse. Shizo, qui fêtera ses 22 ans sur le chantier, le 14 août, est étudiant en pharmacie depuis trois ans. Quant à Burak, plus jeune de quelques semaines, il étudie les mathématiques à l'Université d'Ankara depuis deux ans.

Shizo et Burak sont venus ensemble de Turquie

Les deux copains, qui se connaissent depuis le Lycée, voulaient connaître la France, et le principe des Chantiers internationaux (avec seulement le voyage à financer, puisque nourriture et logement sont assurés par les associations et les collectivités en échange de quelques heures de travail quotidien) était pour eux la solution la plus économique.

Depuis les rives du Bosphore, ils imaginaient la Hyse comme un large fleuve et ils ont été surpris de découvrir un tout petit ruisseau, à peine plus large qu'un fossé. Le travail est aussi un peu plus dur qu'ils ne s'y attendaient, mais tout à fait dans leurs cordes. Et puis, ils trouvent l'ambiance du groupe, au sein duquel ils s'expriment en anglais, excellente, tout comme l'accueil des villageois. Ce qu'ils apprécient aussi, c'est, comparé à la vie trépidante et bruyante de leur ville, le calme et la tranquillité de l'environnement du Chantier. Seule ombre au tableau : la vie, en France, est beaucoup plus chère qu'en Turquie !

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qui règne dans le groupe et l'accueil des habitants. Son plus grand regret : ne pas comprendre ni parler le français, surtout quand elle joue avec Alice, Emilie et Armand, les tout jeunes Noueillois dont elle adore s'occuper. Mais elle a déjà fait beaucoup de progrès !

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Un jugement de spécialiste, puisque Majid a participé à près d'une dizaine de chantiers, au Maroc pour la plupart (peinture, jardinage, poterie, langue arabe..), mais aussi au Danemark. C'est d'ailleurs ce dernier voyage qui lui a permis de découvrir l'Europe… et lui a donné l'envie d'y rester. Il a donc choisi l'Italie, et plus particulièrement une ville du Nord, Bologne, pour s'y installer, voilà trois ans. Les équivalences de diplômes ne lui permettant pas de continuer à exercer son métier d'infirmier, il s'est reconverti au travail sur machines à contrôle numérique. Il a appris l'italien, qu'il parle à présent couramment, tout comme le français. Un dernier mot ? "J'encourage les responsables à organiser un autre chantier ici, l'année prochaine. L'accueil est très bien, et il reste encore beaucoup de travail à faire, sur la rivière".

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Depuis les premiers jours d'août, un chantier de jeunes bénévoles étrangers, encadrés par l'équipe Rivières du Sicoval, travaille à la réhabilitation des berges de la rivière Hyse, sur les communes de Noueilles et Issus.

Ce chantier, géré par l’association "Jeunesse et Reconstruction" dont le siège régional est à Baziège, regroupe quatorze jeunes venant d'Espagne, d'Italie, de la République Tchèque, d'Ukraine, du Maroc, de Turquie, du Japon… et même du Pas-de-Calais. Durant les trois premières semaines d'août, ils ont pour tâches d'abattre les arbres morts qui menacent de tomber et d'obstruer le lit de la rivière, d'élaguer les branches basses qui freinent le passage de l’eau, et de nettoyer les berges en débroussaillant et collectant les détritus...

Hébergés à la salle municipale de Noueilles, ils ont été accueillis à bras ouverts par les villageois, qui sont aux petits soins pour eux : Sylvie et Nelly ont proposé de faire les lessives, Yvette et Aimé partagent avec eux leur récolte de prunes, Françoise les approvisionne en tomates, tous les heureux propriétaires de piscines se battent pour les inviter à faire trempette, et les jeunes du village passent avec eux le plus clair de leur temps, ce dont leurs profs d'anglais ne manqueront pas de se féliciter, à la rentrée…

Un pot d'accueil, organisé par la municipalité, et auquel participaient les maires d'Issus et de Pouze, les représentant du Sicoval et ceux de l'association "Jeunesse et Reconstruction", ainsi que l'équipe Rivières qui intervient sur le chantier, a permis à tous de se rencontrer et de faire connaissance. Le maire de Noueilles, Henri Chalandon, et Alain Bertelli, le président de la Commission Travaux et Services aux Communes du Sicoval, en ont profité pour faire un point rapide sur le Programme Rivières du Sicoval et l'historique de cette intervention sur la Hyse. Chacun tenant à souligner qu'au delà du renfort technique que génère cette action volontaire, elle constitue surtout l’occasion de rassembler des cultures différentes, dans un environnement nouveau, en contact avec la population locale. Une population locale manifestement ravie de l'aubaine !

D'abord, le travail...

...puis quelques minutes de repos bien gagnées...

...et enfin, après l'effort, le réconfort... d'une bonne grillade à partager avec l'équipe du Sicoval

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Marco et Umberto arrivent d'Italie

Parmi les dix-sept garçons et filles qui participent au chantier de la Hyse, deux jeunes Italiens arrivent de la même ville de Pescara, sur les rives de l'Adriatique.

Marco Damiani, 22 ans, et Umberto De Marco, 27 ans, ont décidé ensemble de s'inscrire à ce chantier, qui est pour eux une première expérience. Tous deux sont étudiants en architecture à Pescara, Umberto travaillant de plus à mi-temps dans un cabinet d'architectes.

De leur participation à ce chantier, Marco et Umberto attendent à la fois l'acquisition d'une expérience concrète, la possibilité de découvrir un petit coin de France et, surtout, la rencontre avec des jeunes de toutes nationalités et le partage des cultures. Objectifs atteints, semble-t-il, si l'on en juge par la satisfaction des deux garçons, parfaitement intégrés au groupe et ravis de l'accueil. Seule petite ombre au tableau, pour Umberto : quelques toilettes et douches de plus n'auraient pas été de trop !

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En compagnie de M. le maire d'Issus et des responsables du Sicoval et de l'association Jeunesse et Reconstruction, les jeunes volontaires découvrent leur lieu de travail

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Venus de Turquie ou d'italie, d'Espagne ou d'Ukraine, de la République tchèque ou du Japon… ou tout simplement du Pas-de-Calais, ils sont une quinzaine de jeunes de 18 à 27 ans, étudiants ou jeunes travailleurs, qui ont décidé de consacrer trois semaines de leurs vacances à la réhabilitation des berges de la rivière Hyse, sur les territoires des communes d'Issus et de Noueilles. Et le travail ne manque pas ! Il s'agit en effet d'abattre les arbres morts qui menacent de tomber et d'obstruer le lit de la rivière, d'assurer une coupe sélective visant à conserver et conforter les arbres d’avenir, d'élaguer les branches basses qui freinent le passage de l’eau, et de nettoyer les berges par débroussaillage sélectif et enlèvement des détritus…. L'ensemble de ces travaux, encadrés par l'équipe Rivières du Sicoval, visant à supprimer, ou du moins à réduire de manière conséquente, les risques d'inondation non seulement sur les communes concernées, mais également sur celles de l'aval, Venerque en particulier.

Le Sicoval, compétent en matière de rivières, a donc fait appel à l'association "Jeunesse et Reconstruction", dont le siège régional est à Baziège, pour organiser ce chantier de jeunes volontaires internationaux, du 2 au 22 août. Cette association qui existe depuis plus de 50 ans a pour objectif, à travers la mise en place de tels chantiers, de donner à des jeunes de tous horizons la possibilité de se rencontrer et d'apprendre à vivre et à travailler ensemble dans un esprit de tolérance, de respect et de fraternité. Quant aux communes, elles assurent l'accueil logistique du groupe, qui a posé ses bagages à la salle polyvalente de Noueilles, et qui est d'ores et déjà invité à participer à la mounjetada de la fête, le 13 août, à Issus.

Maria, Ana Isabel, Marco, Umberto, Tony, Anna, Ali Burak, Abdelmajid, Masami, Oriana, Nikolic, Laïa, Omer Ozgun et Mai débordent d'énergie et le travail avance vite, malgré la chaleur écrasante qui pèse sur les coteaux. Ce qui leur laisse le loisir de partager des tournois de baby-foot, tennis de table, pétanque ou football avec les jeunes du village, de visiter les environs, ou encore de faire trempette dans les piscines voisines…. Sachant que leur choix pour ce type de "vacances utiles" est dicté à la fois par le désir de découvrir le pays, la région, les environs ; de rencontrer d'autres jeunes étrangers, d'accéder à d'autres cultures ; d'améliorer leur français (et d'utiliser leur anglais de façon intensive) ; enfin de réaliser quelque chose d'utile et de concret pour une collectivité.

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Après quatre semaines et demi de fonctionnement à plein régime, le Centre de Loisirs de Noueilles peut enfin s'offrir quelques jours de vacances. On se retrouvera donc à partir du 23 août pour une dernière semaine particulièrement riche en animations, qui devraient permettre à tous de se remettre dans le bain de la rentrée dans la joie et la bonne humeur. Au menu, entre autres : une journée à Aqualudia, une rando-vélo et une sortie à Tépacap qui devrait faire le bonheur de tous les aventuriers en herbe. Les inscriptions sont déjà ouvertes au 06.12.0.83.64.

Pour ce qui est des souvenirs de ces dernières semaines, on peut noter le stage de magie, très apprécié, les sorties à Walibi et Aqualudia, les virées en vélo et les balades dans les bois et, surtout, le camp multi-activités à Auzat, en Ariège, qui a fait le plein de participants et de bonne humeur, avec un menu aussi alléchant que sportif : spéléo, escalade, piscine, parcours aventure dans les arbres, nuit à la belle étoile, boum, défilé de mode… et on en oublie sûrement !!!

Rappelons que la plage d'ouverture quotidienne du Centre va de 7 h 30 à 18 h 30 et que le tarif journalier (hors suppléments sorties) est de 11 € pour les enfants de Noueilles, Issus et Pouze (RPI) et de 15 € pour ceux des autres communes. Les inscriptions sont à prendre au 06.12.08.83.64, où l'on peut également obtenir tout renseignement complémentaire, ainsi qu'à la mairie de Noueilles ou sur le site www.noueilles.fr.

Parés pour jouer les alpinistes... et les naïades...

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Quand la Hyse sort de son lit....
 (ici, à Noueilles, au pont de la route d'Auragne)

Pendant les trois premières semaines d'août, un chantier de jeunes bénévoles étrangers, encadré par l'équipe Rivières du Sicoval, prendra en charge la réhabilitation des berges et du lit de la rivière Hyse, sur les communes de Noueilles et Issus.

Ce chantier, géré par l’association "Jeunesse et Reconstruction" dont le siège régional est à Baziège, regroupera dix-huit jeunes venant de tous pays (Italie, Espagne, Allemagne, Ukraine, Japon, Turquie, République Tchèque, Yougoslavie… et même  France...). Leur travail consistera à abattre les arbres morts qui menacent de tomber et d'obstruer le lit de la rivière, à assurer une coupe sélective visant à conserver et conforter les arbres d’avenir, à élaguer les branches basses freinant le passage de l’eau, à nettoyer les berges par débroussaillage sélectif et enlèvement des détritus présents. L'ensemble de ces travaux visant à supprimer, ou du moins à réduire de manière conséquente, les risques d'inondation non seulement sur les communes concernées, mais également sur celles de l'aval, Venerque en particulier.

Au delà du renfort technique que génère cette action de volintariat, elle constitue également l’occasion de rassembler des cultures différentes, dans un environnement nouveau, en contact avec la population locale. Ces chantiers jeunes contribuent ainsi à l’apprentissage de la responsabilité, à l’acquisition de notions fondamentales comme le droit et le devoir, mais aussi à la prise en compte d’une jeunesse envers laquelle le Sicoval et les communes se font une obligation d’être attentifs, dans un constant esprit d’intégration et de solidarité.
 

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Après le succès de la première quinzaine d'animations au centre de Loisirs de Noueilles, avec des journées où on a dû refuser du monde pour les sorties, notamment à Aqualudia et à Walibi (55 participants), c'est Benoît le magicien qui anime cette semaine, centrée autour de la magie et de la taille de pierre. Ils sont nombreux et assidus, les apprentis illusionnistes, à s'exercer à manier cordes et foulards, cartes et boîtes magiques. Et d'autant plus intéressés et attentifs qu'il en va de la réussite de leur spectacle de magie, annoncé pour vendredi après-midi !

Apprentis magiciens en action
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Avec ses mille deux cents cédés et cassettes audio, la sonothèque a les faveurs des jeunes Noueillois

Récemment informatisée, la Médiathèque de Noueilles propose un choix de plus de six mille ouvrages pour adultes et enfants (albums, romans, documentaires, bandes dessinées, dictionnaires et encyclopédies…), dont un millier prêtés pour six mois par la Médiathèque départementale. Ce dépôt vient d'être renouvelé et près de mille nouveaux ouvrages sont ainsi à la disposition des lecteurs. Il en est de même pour les documents sonores : près de mille deux cents cédés et cassettes audio sont ainsi disponibles, la plupart mis à disposition par la Médiathèque Départementale qui se charge de renouveler le choix deux fois par an.
 

Sont ainsi proposés : chanson française et francophone, rock, jazz, opéra, opérette, classique, musiques du monde, musiques de films, humour, ainsi que partitions, textes enregistrés, cassettes de langues et livres audio pour les enfants. Le renouvellement de ce fonds a eu lieu voilà quelques semaines, et on peut également noter que cinquante-quatre documents sonores récemment acquis sont venus compéter le fonds.

La Médiathèque de Noueilles fonctionne habituellement avec un large choix d'horaires hebdomadaires : le mardi de 10 heures à 12 heures (accueil de l'école) et de 16 h 30 à 18 heures ; le mercredi, de 15 heures à 17 h 30 ; le jeudi, de 19 heures à 20 heures ; le vendredi, de 9 heures à 11 heures ; et le samedi, de 15 heures à 17 heures. Pendant les vacances d'été, les horaires d'ouverture sont quelque peu réduits, suivant les disponibilités des bénévoles responsables, mais les samedis après-midi sont toujours assurés. Rappelons enfin que l'inscription et le prêt (avec un maximum de trois livres pour trois semaines et deux documents sonores pour deux semaines) sont gratuits et ouverts à tous.
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Pour tout renseignement complémentaire, appeler le 05.61.81.08.57 aux heures d'ouverture ou bien envoyer un courriel à mairie@mairie-noueilles.com.

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Les fous de foot sont aussi de la fête

Messe en fête

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